L’usage du mot espagnolade est attesté depuis le début du XVIIe siècle. D’abord synonyme de fanfaronnade, le terme garde ensuite sa connotation péjorative, et désigne au XIXe siècle des œuvres artistiques évoquant l’Espagne par un pittoresque outrancier réduit à quelques clichés - en somme, l’"España de pandereta". Il est devenu alors un véritable genre musical dont le répertoire, même s’il comporte peu de partitions majeures, mérite d’être réévalué. >suite
Lydie Fuerte : "Carillón del viento" - autoproduction, 2017.
Maël Goldwaser : "De profundis" - autoproduction, 2020.
Myrddin De Cauter : "Longhin" - Zephyrus ZEP 049 (2020).
NB : l’ordre de présentation de ces trois enregistrements n’implique aucune préférence. Nous les chroniquons dans l’ordre chronologique de leur réception, et présentons nos excuses à Lydie Fuerte pour sa longue et patiente attente. >suite
Parmi les nombreuses ressources documentaires offertes par Flamenco y Universidad, la plus utile et conséquente est sans doute une collection discographique qui, avec un récent album monographique consacré à Manuel Fernández "Gordo de Juane", en est à sa soixante-troisième livraison... >suite
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