À José Luis Rodríguez García de la Torre "José Luis de la Paz" (Chaouen, Maroc, 27 février 1967 - Miami, USA, 15 janvier 2025).
"[...] Nuestro trabajo de artistas tiene una función importantísima, que es conectar al ser humano consigo mismo, con la tierra y con el universo. Esto es una responsabilidad que debemos llevar con generosidad y amor. Hay artistas que lo llevan consigo sin saberlo, y otros toman conciencia de ello. Cada vez que tocamos la guitarra, en nuestro caso, nos ’afinamos’ para abrir esta puerta. Sin embargo, esta responsabilidad no debe ser una carga, sino que debe integrarse en nuestra vida. Esto, para mi, es importante, y también lo es el relacionarnos bien con el instrumento." — José Luis de la Paz, entretien avec Marco Marco Rodríguez pour cienxcienflamenco.com, publié le 10 février 2019. >suite
Luisa Palicio & Compañía : "El penúltimo cuplé" / Eduardo Guerrero : "El manto y su ojo" / José Mijita : "Al sur de la libertad" / Manuel Liñán & Compañía : "Muerta de amor" / Jesús Méndez : "Quiero cantArte" / María José Franco & Compañía : "Tararamía" >suite
Le cuplé est un genre de chansons exclusivement féminin qui prospéra de la deuxième moitié des années 1910 à la fin des années 1920 pendant la mode des "variétés" (ou variedades) importées de France, comme leur nom l’indique. Représentés dans les cabarets et les théâtres, ils mêlaient numéros de chant, de danse, de cirque, de prestidigitation, de transformisme, etc. dont les cuplés étaient les plus attendus. Les chansons légères étant depuis longtemps désignées comme genero chico, les critiques inventèrent pour les stigmatiser une étiquette plus péjorative encore, genero mínimo et un néologisme pour vilipender les artistes qui s’y adonnaient, les sicalípticas... >suite
Nous empruntons le titre de cette série d’articles, ainsi qu’une grande partie des informations biographiques et de l’iconographie, au blog d’Ángeles Cruzado Rodríguez (Flamencas por derecho) que nous ne saurions trop vous conseiller de consulter assidûment. Pour les enregistrements, nous sommes grandement redevable à Pedro Moral — Sociedad Pizarra & Flamendro. >suite
Poursuivant notre parallèle Naples / Madrid au XVIIIe siècle, nous pourrions rapprocher la tonadilla escénica de l’intermezzo et la zarzuela de l’opera buffa. La tonadilla escénica reste limitée à un acte, ce qui la différencie nettement de la zarzuela, même si son format devient de plus en plus ample à la fin du siècle. D’autre part, contrairement à la majorité des intermezzos, elle comporte presque systématiquement des dialogues parlés. >suite
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