"Nos hemos quedado huérfanos", écrivait Maguy Naïmi la semaine dernière. Paco de Lucía nous a quitté le 26 février dernier, à 66 ans, victime d’ un infarctus. On mesure, à la multitude des hommages qui lui sont rendus dans le monde entier, ce que doivent les "flamencos", et le flamenco, à cet immense artiste. En France, la presse quotidienne, les magazines, les chaînes de radio et de télévision, généralistes ou spécialisées, ont relayé l’information et publié ou diffusé des portraits, des (...)
Merci pour cet excellent hommage, fort bien sourcé et nuancé comme il se doit. Un point cependant que vous n’abordez pas : le timbre des instruments du sextet sur les enregistrements. Une bonne partie de ma gêne à l’écoute de certains des albums emblématiques de Paco (comme Cositas Buenas, Entre dos Aguas) vient du timbre franchement "pop" de la production d’ensemble (les palmas, la basse, certains choeurs). Je me demande ce qui, dans ce résultat, tient à la liberté créatrice des artistes et ce qui tient à celle des producteurs ...
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