De l’abondante production discographique de Joaquín José Vargas Soto "el Cojo de Málaga", la postérité a surtout retenu les cantes de minas. Mais elle recèle beaucoup d’autres trésors. Aussi lui consacrons-nous trois articles.
L’audition des enregistrements de cette troisième partie ne peut que faire regretter qu’El Cojo de Málaga n’ait pas enregistré plus de cantes a compás : volonté du cantaor, ou des labels, de concentrer sa production sur les cantes qui l’avaient rendu célèbre, les (...)
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